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L’expression vient de l'anglais « chemical trails » qui signifie: traînées chimiques. En clair, des produits répandus illégalement par des avions et qui persistent dans le ciel pendant plusieurs
heures.
On oppose ce type de nuages aux « contrails » (contraction de « condensation trails »). Le phénomène est bien connu du grand public puisqu’il s’agit des traînées de condensation provoquées par le
gel de la vapeur d'eau. Générés par les réacteurs des avions, ils disparaissent en quelques dizaines de secondes.
Une amie habitant l'Arizona (USA), m'a informé des chemstrails en 2001. J'ai identifié les premiers au début de l'expo nationale dans la région Neuchâteloise en 2002. Depuis ces épandages massifs continue d'une manière très fréquentes. Au début personne ne remarquait rien.
Maintenant je connais plusieurs personnes qui ont pris conscience du phénomène. Cet hiver lorsque le temps est clair il possible d'observer une sorte de brume persistante qui stagne en dessous de 1000 m d'altitude. J'attribue ce smog inhabituel aux épandages "chemstrail".
Nos enfants n'avait jamais de gastro entérites avant l'apparition des chemstrail. Depuis c'est plusieurs fois par années, parfois c'est assez grave. Plusieurs voisins agés ont eu des problèmes pulmonaires inexpliqués selon leurs médecins. Le lien entre ces épandages et ces maladies est très probable. Evitez les efforts extérieurs les jours d'épandages massifs (ainsi que le lendemain).
Un américain nommé Clifford Carnicom, président d'une corporation à but non lucratif du même nom Institut Carnicom prétend avoir analysé des échantillons d'air prélevés au niveau
du sol suite à des supposées opérations d'épandage. Les analyses des retombées auraient surtout révélé des métaux lourds, dont de l'aluminium et du baryum, voire des minéraux comme du calcium, du
magnésium, et d'autres éléments comme du titane, des fibres de polymères microscopiques dans des zones supposées avoir été exposées au chemtrails . Carnicom n'a jamais mis à la disposition des
institutions ces échantillons, et n'a pas dévoilé les méthodes par lesquelles il arrivait à ces conclusions.
Des recherches de Luigina Marchese, auteur d'un dossier sur les épandages chimiques publiée dans le no 3 de la revue italienne X Times, confirmeraient l'étude de Carnicom, indiquant un lien entre
des épandages chimiques aériens non agricoles et des traces de baryum et d'aluminium dans des produits biologiques.
Un groupe de citoyens nommé Arizona Sky a contrôlé l'air, l'eau et le sol en Arizona et a récemment rendu plusieurs rapports qui ont été vite repris par d'autres groupes dans le pays. De nombreux
sites en Arizona et spécialement Phoenix ont été évalués pendant plusieurs années et les résultats auraient montré la présence de taux élevés de produits chimiques toxiques (notamment de
l'aluminium) attribués pour beaucoup aux chemtrails.
En 1953, une des premières séries de tests militaires est conduite sur les résidents de la ville de Winnipeg. 36 différents essais sont effectués au total, alors que les
responsables Américains, CIA en tête, mentent aux dirigeants Canadiens sur la véritable nature des tests. Le but de l'opération était de déterminer à quelle proportion de la population il est
possible d'infliger chimiquement le cancer.
Les instances responsables ont finalement dû admettre, longtemps après les évènements, que de tels tests ont bel et bien eu lieu.
L'affirmation par des individus qu'un vaste programme plus large d'épandage à l'échelle mondiale existe. Cette polémique a débuté (approximativement) en 1995 lorsque de plus en plus de gens ont
commencé à remarquer des traces dans le ciel qui n'étaient pas, selon eux, des traces de condensation ordinaires.
Les responsables nient tout... mais pour combien de temps encore?
D'après le météorologue Thomas Schlatter, de l'Administration Atmosphérique et Océanique Nationale Américaine, les contrails dits "normaux" ne peuvent se former qu'à une température inférieure à -76ºF et à un taux d'humidité de 70%. Selon lui, même dans les conditions idéales, un contrail ne devrait pas durer plus de 30 minutes.
Ceux qui sont responsables des épandages aériens peuvent bien nier ce qu'ils veulent, mais ils se trahissent en voulant protéger leurs investissements. Les archives du service gouvernemental américain des brevets sont là pour en témoigner : le cerveau humain est capable de bien tristes réalisations.